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Firestarter
5 adaptations géniales de Stephen King au cinéma
Mercredi sort en salle Firestarter, deuxième adaptation du roman Charlie (1980) de Stephen King, déjà porté à l’écran dans le film éponyme de Mark L. Lester, sorti en 1984. Pour l’occasion, retour en cinq films sur les meilleures adaptations cinématographiques de l’œuvre d’un écrivain mythique.
Mercredi sort en salle Firestarter, deuxième adaptation du roman Charlie (1980) de Stephen King, déjà porté à l’écran dans le film éponyme de Mark L. Lester, sorti en 1984. Pour l’occasion, retour en cinq films sur les meilleures adaptations cinématographiques de l’œuvre d’un écrivain mythique.
Firestarter - 5 adaptations géniales de Stephen King au cinéma
Seconde adaptation du roman Charlie (1980) de Stephen King – la première, portée par la jeune Drew Barrymore, est sortie en 1984 –, Firestarter met en scène Charlie (Ryan Kiera Armstrong), une jeune fille dotée du pouvoir extraordinaire de pyrokinésie. Malgré la protection de ses parents (Zac Efron et Sydney Lemmon), Charlie est pourchassée sans relâche par une obscure agence fédérale qui voit en elle une potentielle arme de destruction massive…
En attendant de découvrir cette nouvelle adaptation volcanique du roman de Stephen King, on vous propose de (re)découvrir cinq adaptations sensationnelles de l’œuvre de l’écrivain :
CARRIE AU BAL DU DIABLE (1976)
En 1974, Stephen King publie son premier roman, Carrie. Le réalisateur Brian de Palma, charmé par le potentiel cinématographique du récit, décide d’en réaliser l’adaptation peu de temps après sa sortie. L’histoire, tout le monde la connaît plus ou moins, c’est celle de Carrie (Sissy Spacek), une jeune femme de seize ans, terrifiée par les manifestations de son corps – l’arrivée de ses menstruations déclenche en elle de curieuses capacités télékinétiques –, la violence de sa mère, la méchanceté de ses pairs. Une première adaptation qui fera date, tant dans l’histoire de cinéma que dans la carrière de Stephen King.
DEAD ZONE (1983)
En 1983, on ne compte pas moins de trois adaptations différentes de l’œuvre de Stephen King. Il faut dire que l’auteur, extrêmement prolifique, n’en finit plus d’inspirer les cinéastes. Parmi elles, se démarque le film de David Cronenberg, qui préfigure la veine cérébrale de la seconde partie de sa carrière, mais précède surtout la sortie du film-référence du genre du body-horror : La Mouche (1986). Christopher Walken y incarne le rôle de Johnny, un homme doté du don de connaître l’avenir des personnes avec qui il entre en contact physique. Un film qui analyse avec précision, et à l’échelle d’une petite ville, les traumatismes irréversibles causés par les événements de la Seconde Guerre Mondiale.
MISERY (1990)
Il s’agit là certainement de l’une des plus célèbres adaptations cinématographiques d’un roman de Stephen King. Et pour cause : comment oublier l’interprétation magistrale de Kathy Bates, qui incarne la terrifiante et glaçante Annie Wilkes ? Rob Reiner met ici en images l’exploration de la relation macabre qui se noue entre Paul Sheldon, un auteur à succès (James Caan) et d’une femme qui s’autoproclame comme « sa plus fervente admiratrice », narrée dans le roman éponyme paru en 1987. Retenu prisonnier contre son gré, Sheldon se verra être la cible des pulsions criminelles d’Annie Wilkes, mécontente du traitement réservé à son personnage préféré dans son dernier roman. Le film est à ce jour la seule adaptation d’un roman de Stephen King à avoir reçu un Oscar, celui de la meilleure actrice pour Kathy Bates.
THE MIST (2007)
Frank Darabont n’en est pas à son coup d’essai en ce qui concerne l’adaptation de l’œuvre de Stephen King. Après La Ligne Verte (1999), chef d’œuvre d’émotion et de sensibilité, le réalisateur et scénariste retrouve une seconde fois l’univers fantastique de l’auteur. Tiré de la nouvelle Brume, publiée en 1980, le film est un huis-clos oppressant où un les habitants d’un village menacé par une brume surnaturelle qui cache des créatures terrifiantes se retrouvent piégés dans un supermarché. Une situation prétexte à l’analyse entomologique des comportements d’individus confrontés à une situation extrême, qui agit comme un miroir des dérives et des défaillances de la société occidentale moderne.
ÇA (2017)
Qui n’a pas été traumatisé dans son enfance par l’apparence monstrueuse du clown Pennywise, incarné par Tim Curry dans Ça, Il est revenu (1990) ? C’est certainement le cas du cinéaste Andy Muschietti, qui se confronte à cette figure mythique du cinéma d’horreur à travers un frissonnant diptyque. Et si le réalisateur a pris certaines libertés par rapport au roman de Stephen King (paru en 1986), il ne fait aucun doute qu’il a su restituer l’esprit d’insidieuse terreur qui s’en dégage. Un ressenti que l’on doit notamment à la prestation de Bill Skarsgård (parfait dans le rôle), qui comme Tim Curry en son temps, a contribué à créer une nouvelle génération d’enfants et d’adolescents terrorisés par Pennywise…
Visuel de couverture : Ryan Kiera Armstrong – Firestarter | Copyright 2022 UNIVERSAL STUDIOS. All Rights Reserved.
En salles le
01 juin 2022
01 juin 2022