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Notre-Dame brûle
5 raisons d’aller voir cette épopée dantesque
Nouveau film événement de Jean-Jacques Annaud, sept ans après Le Dernier Loup, cette fresque reconstitue heure par heure l’invraisemblable réalité des événements du 15 avril 2019, lorsque Notre-Dame a subi le plus important sinistre de son histoire. Une aventure humaine qui se dit avec force dans un long métrage d’anthologie.
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Nouveau film événement de Jean-Jacques Annaud, sept ans après Le Dernier Loup, cette fresque reconstitue heure par heure l’invraisemblable réalité des événements du 15 avril 2019, lorsque Notre-Dame a subi le plus important sinistre de son histoire. Une aventure humaine qui se dit avec force dans un long métrage d’anthologie.
Notre-Dame brûle - 5 raisons d’aller voir cette épopée dantesque
Une fiction ancrée dans le réel
Lancé fin 2019, le projet de la nouvelle superproduction signée Jean-Jacques Annaud (L’Ours, Le Nom de la rose…) est née de l’idée de Jérôme Seydoux, président de Pathé, de faire un film de montage d’archives sur l’incendie de la célèbre cathédrale parisienne. À partir de documents confiés par Seydoux, le réalisateur Jean-Jacques Annaud a ainsi imaginé un scénario de fiction basé sur l’antagonisme entre une « star » de renom, Notre-Dame de Paris, et le feu qui l’a ravagée, soit le mal incarné. Entre les deux se dressent des héros du quotidien, prêts à risquer leur vie pour sauver un monument de pierre.
Un Tour de France des cathédrales
Pour exprimer toute la magnificence de la cathédrale d’origine et le drame engagé par l’incendie qui l’a touchée, Jean-Jacques Annaud a tourné dans les cathédrales de Sens, Amiens et Bourges, ainsi qu’au sein de la fameuse basilique de Saint-Denis. Le cinéaste et son équipe ont même pu filmer quelques scènes à l’intérieur de Notre-Dame, avec toutefois une certaine modération liée à l’omniprésence du plomb et des risques d’effondrement sur place. Les scènes de feu ont quant à elles été recréées en studio.
Des décors extrêmement fidèles
Les bureaux de production se sont installés à la Cité du Cinéma, sur un étage entier. Plusieurs versions réduites de Notre-Dame ont été reproduites, ce qui a demandé des semaines de travail. Cette entreprise minutieuse a permis au cinéaste de réfléchir à ses axes de caméra, à l’emplacement de ses acteurs ainsi qu’aux endroits à « enflammer ». Le tournage s’est, lui, déroulé dans un vaste espace en extérieur et a nécessité des ateliers de menuiserie, ferronnerie, sculpture, moulage de plâtres, etc. D’ailleurs, les matériaux utilisés sur le tournage devaient pouvoir résister à une chaleur de 1 200 degrés pendant des jours !
Les pompiers, héros du film
Dans un souci permanent de véracité et de respect envers les personnes ayant œuvré au sauvetage de la cathédrale, Jean-Jacques Annaud a sollicité un adjudant des pompiers de Paris. En plus de veiller à la sécurité de l’équipe, celui-ci a également officié en tant que conseiller technique pour s’assurer que tout ce qui allait être montré à l’écran soit crédible. Les acteurs du film se sont aussi immergés dans une véritable caserne et ont appris les gestes du métier. Jean-Jacques Annaud a par ailleurs consulté les témoignages des pompiers présents lors de la catastrophe en 2019.
Des effets spéciaux made in France
C’est Mikros, une société française, qui a été sollicitée pour la conception des effets spéciaux du film. Jean-Jacques Annaud a révélé qu’il s’agissait, « pour la moitié d’entre eux, de faire disparaître des câbles de sécurité retenant les acteurs ou des tuyaux d’alimentation en eau ou en gaz sur les décors. L’autre moitié du travail a été plus complexe, avec l’ajout de fumée en arrière-plan ou des flammes quand ce n’était pas possible ou trop dangereux sur le plateau… ».
Visuels de couverture & illustration : Notre-Dame Brûle – Copyright Mickael Lefevre – BSPP
En salles le
16 mars 2022
16 mars 2022